lundi 30 mars 2015

Félicitations à François Boussard et Brigitte Lecor.

Je m'associe à tous ceux qui ont apporté leur soutien pour l’élection de deux candidats proches du terrain dans le nouveau canton du Lude. Naturellement je compte sur eux pour garder cette proximité notamment vis à vis des  communes rurales qui ont le sentiment d'un abandon généralisé de la part des dirigeants. Je souhaite aussi bien évidemment que la priorité des actions que pourra mener le Conseil général s'inscrive à la fois dans la continuité de ce qui a été mis en place mais aussi d'une accélération du soutien au développement économique et touristique. Bon courage à François Boussard et Brigitte Lecor. LJ

vendredi 27 mars 2015

Les élus du canton du Lude au Sénat avec des "Special guests"!

Mardi 24 mars fut l'occasion d'une belle réunion des élus du Canton du Lude au Sénat.

Groupe: Mr et Mme Bompas, Mr et mme Boulay, Mr et Mme Carré, Mr Chantepie, Mr et Mme Decers, Mme de Maismont, Mr de Nicolaÿ, Mme Deplanque, Mme Fisseau,  Mr et Mme Gervais, Mr et Mme Guillon, Mme Latouche, Mr et Mme Lelarge, Mme Leroux, Mr Lesschaeve, Mme Ménard, Mr et Mme Néron, Mr et Mme Paquet, Mr Peny, Mr Raveneau, Mme Robineau, Mr et Mme Taillebois, Mr et Mme Tricot, Mr et Mme Yvernault.

Nous avons été rejoins au déjeuner par Mr Roland du Luart (ancien Sénateur UMP de la Sarthe et ancien vice-président du Sénat), Mme de Nicolaÿ et Anne-Charlotte Varin (Groupe UMP au Sénat). Mme Varin nous a exposé la loi NOtre.

Mr Retailleau (Président du Groupe UMP au Sénat et Sénateur de la Vendée) nous a rendu visite et a fait un petit discours sur la nécessité du Sénat et de la proximité avec les citoyens:


Une très belle journée en excellente compagnie!! LJ

mercredi 25 mars 2015

Quelques photos lors de réunions au Sénat et en Circonscription


Réunion publique pour les départementales au Lude


 Audition d'Antoine darodes directeur de la mission très haut débit

mercredi 18 mars 2015

Communiqués de Presse du Groupe UMP: Projet de loi Santé par Bruno Retailleau



République Française

Groupe UMP
Le Président
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  Paris, le 18 mars 2015
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Projet de loi Santé : l’Etat ne peut pas tout réglementer !

 
Je comprends l’inquiétude et la mobilisation du monde médical contre le projet de loi Santé du gouvernement.
Ce texte risque en effet de remettre en cause la liberté et l’indépendance de toute une profession. La généralisation du tiers-payant et l’exclusion des établissements privés du service public hospitalier va affaiblir l’équilibre économique mais également l’équilibre territorial de notre santé !
L’État ne peut pas tout contrôler et tout réglementer !
En étatisant l’activité des médecins généralistes et des infirmer libéraux, ce projet de loi aggraverait la désertification médiatrice dont souffrent déjà nos territoires ruraux.

Bruno Retailleau




République Française

Groupe UMP
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 Paris, le 18 mars 2015
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Loi Santé :
Comment le gouvernement peut-il envisager d’éluder et de brader le débat sur un sujet aussi essentiel et aussi décrié ?

Le gouvernement en souhaitant accélérer le débat et en engageant la procédure d’urgence sur la loi santé, montre qu’il reste sourd aux revendications des professionnels. Malgré les annonces, il refuse en réalité tout dialogue, et se moque de l’unanimité des professionnels de santé contre son projet (médecins, dentistes, infirmiers, internes…).
Comment le gouvernement peut-il envisager d’éluder et de brader le débat sur un sujet aussi essentiel et aussi décrié ?
Le projet de Marisole Touraine est un mauvais coup porté à la médecine en France, dont le monde entier envie, pourtant, la qualité.
En systématisant le tiers payant, le gouvernement de façon démagogique, va déresponsabiliser encore un peu plus les citoyens, ce qui conduira à accroître les dépenses et donc les déficits.
En mettant les professionnels de santé sous la tutelle de l’Etat et des administrations, il dénature la médecine libérale. L’Etat ne peut pas s’occuper de tout.
Ce projet de loi est dangereux pour la qualité des soins et pour la relation médecin/patient. Aussi, le groupe UMP du Sénat portera lors de l’examen du texte les légitimes inquiétudes et revendications des professionnels de santé qui sont aujourd’hui victimes du dogmatisme de Manuel Valls et de son gouvernement.                                                                                   


mardi 17 mars 2015

« Conseiller général, c'est le mandat de la simplicité » Article Le Parisien: interview de Gérard Veron



« Conseiller général, c'est le mandat de la simplicité »

A quoi servent au juste ces élus, qui vont d'ailleurs devenir des conseillers départementaux à l'issue du scrutin des 22 et 29 mars ? Reportage auprès du doyen de l'assemblée de la Sarthe.

Cérans-Foulletourte (Sarthe), hier. Gérard Veron confie avoir « fait le maximun » pour défendre son territoire pendant ses vingt-deux ans de mandat de conseiller général.
Cérans-Foulletourte (Sarthe), hier. Gérard Veron confie avoir « fait le maximun » pour défendre son territoire pendant ses vingt-deux ans de mandat de conseiller général. (LP/Philippe Lavieille.)
Gérard Veron, 79 ans, ancien agriculteur comme le furent son père et son grand-père, s'excuse presque. « Je vous le dis tout de suite, j'aime la simplicité, je n'ai pas mis de cravate ! » lâche-t-il en nous accueillant à sa permanence de conseiller général au premier étage de la mairie de Cérans-Foulletourte.
Le doyen du conseil général de la Sarthe, qui a décidé ne pas se représenter après vingt-deux ans de service, aime s'afficher comme « un homme de la base » et du « bocage ».

« Moi, je n'ai pas la grosse tête, je ne recherche pas la publicité. Le mandat de conseiller général, c'est celui de la simplicité. C'est un plein-temps, faut être bosseur sinon vous êtes vite débordé », prévient cet élu divers droite, fier tout de même de pouvoir évoquer ses missions. « C'est important de parler de ce que fait au quotidien un conseiller général. Aujourd'hui, le débat est monopolisé par le futur score du FN », regrette-t-il. En plus de deux décennies à l'hôtel du département du Mans, il a endossé le costume de VRP pour son fief très rural, bataillant ferme pour initier des chantiers. « Mon rôle, c'est d'être proche des électeurs. J'ai fait le maximum. J'avais un territoire à défendre. Il faut se bagarrer, réussir à convaincre les autres élus, aller voir le président... » résume-t-il.


Des inquiétudes pour l'avenir de l'institution

A son tableau de chasse, la construction d'une maison de retraite ou de trois ronds-points. Et la rénovation d'un collège. « Ça, c'était mon premier dossier quand je suis arrivé. On a changé les fenêtres, on a refait les peintures, tout le look extérieur », s'enthousiasme-t-il. Des neuf communes de son canton, l'ancien édile de Cérans-Foulletourte, de 1983 à 2008, jure qu'il n'a jamais privilégié la sienne. « Je me suis occupé de tous les villages de la même manière. Je n'ai rien contre les gens de la gauche. On peut être conseiller général sans faire de la politique », assure-t-il.

Pendant dix-huit ans, l'ex-éleveur de vaches laitières a aussi présidé la commission de l'agriculture. Il se souvient, nostalgique, que dans les années 1990, le monde paysan bénéficiait de « sacrés coups de pouce » du conseil général, qui ont disparu. « On accordait une subvention aux jeunes qui s'installaient, on aidait à l'irrigation, à l'achat de taureaux améliorateurs, et puis l'Europe est arrivée et tout s'est arrêté. » Quelques subventions individuelles restent allouées aux agriculteurs se tournant vers le bio ou aux arboriculteurs dressant des filets paragrêle.

A sa permanence, Gérard, qui touche une indemnité de quelque 2 000 € net par mois, en a vu défiler des habitants... et des requêtes, même celles qui n'étaient pas de sa compétence. « J'ai eu un monsieur qui me demandait un logement parce qu'il envisageait de divorcer dans un an. » Toutes les associations sont passées dans son bureau pour obtenir des subsides. Le Père Noël de la République disposait d'une enveloppe annuelle de 15 000 € à partager en plus de 100 parts plus ou moins égales. « Il y en a beaucoup qui ont eu 100 EUR, pas plus », précise-t-il.

Sa fonction est souvent dans l'ombre. Mais elle peut s'avérer de temps en temps « gratifiante ». « J'ai reçu parfois des courriers de remerciement. Mais c'est maintenant, au moment de partir, que je vois ce que les gens pensent de moi. Lors de la dernière réunion à ma commission, j'ai été applaudi. » Bientôt octogénaire, il s'inquiète « un peu » pour l'avenir de son institution qui deviendra à l'issue du second tour un conseil départemental, avec des prérogatives pour l'heure encore floues. « Il ne faut pas qu'il s'éloigne de la base, c'est là où il est le mieux représenté », espère-t-il.

Source Le Parisien 17/03/15

jeudi 12 mars 2015

Concessions autoroutières : l’usager doit être remis au cœur du débat !

Communiqué du Groupe UMP:
Patrick Chaize (Ain) et Louis-Jean de Nicolaÿ (Sarthe) se réjouissent que les conclusions du rapport sur l’avenir des concessions autoroutières écartent le scénario d’une résiliation des concessions qui aurait eu des conséquences financières, voire sociales, importantes.
Les sénateurs UMP déplorent néanmoins, que l’Autorité de la concurrence ait semé le trouble dans cette affaire et, que le gouvernement n’ait pas joué le jeu, en engageant des discussions avec les sociétés de concessions parallèlement au groupe de travail.
Certes le modèle mérite d’être revu, mais il ne faut pas oublier que les sociétés concessionnaires ont permis aux autoroutes françaises d’être de bonne qualité et de se développer. « La France dispose d’un des meilleurs réseaux autoroutiers du monde ! » rappelle Marie-Hélène Des Esgaulx (Gironde).
Les sénateurs UMP expriment cependant un souhait, que les usagers soient remis au cœur du débat. « L’usager a aujourd’hui besoin d’une visibilité à tous les niveaux, tant sur les tarifs que sur la durée des concessions ! » insiste Patrick Chaize.